Wild Card

Gamblers watch. If you think that the percentages ar high that a Vegas-set mythical being Jason Statham pic – and one directed by Simon West (The Expendables 2) – can embody legion bone busting and coin machine smashing, then you will wish to lower your bets.

Not that Wild Card doesn’t have a couple of vintage Stathamanical beat downs, with such things as a mastercard, a tablespoon and a combine of garden shears employed in ways in which you may solely imagine. however the action otherwise takes a back seat to boilerplate dramatics and unconventional existential brooding during this underwhelming tho' glibly helmed crime flick, that was custom-made – and not for the primary time – by the good William Goldman (Marathon Man) from his own novel. discharged mid-January in France before going out Stateside at the tip of the month, the film ought to profit on Statham’s loyal fan base, however are going to be a disappointment to anyone longing for a true thrill ride. An opening sequence, wherever Sin town bodyguard Nick Wild (Statham) receives a serious whupping at the hands of a nebbech ladies’ man (Max Casella), reveals that this can not be your typical Statham actioner. There’s definitely nothing wrong therewith, though what comes next isn’t very better: a unconventional mixed bag of Mafioso-fueled plot cliches and vodka-fueled sorrow, as if going away city and hour two had been tossed into a mixer, shaken, stirred and served with manner an excessive amount of ice. Nick’s dream is to form $500K thus he will live to tell the tale a ship in Corsica, however given his defaulter job and depressing motor hotel flat, he’s a protracted manner from his goal. once associate degree previous galfriend (Dominik Garcia-Lorido) rings him up when being savagely ill-treated, Nick can’t facilitate however catch the wrongdoer – a visiting crook (Milo Ventimiglia) shacked up together with his cronies at the Golden lump (which receives some extremely uncomplimentary advertising here – as an alternative some excellent product placement, unfinished on whether or not your vacation plans embody rape, murder or complimentary drink vouchers.) The first brawl happens between Nick and therefore the baddies at round the 40-minute mark, and though it’s well choreographed by Corey Yuen (The Transporter series) and coated by refugee Shelly Johnson (Captain America: The First Avenger) in slow-mo, fast-mo and extreme close-ups, it doesn’t conjure for the general shortage of Adrenalin. Meanwhile, a subplot involving a fervent young American (Michael Angarano) World Health Organization hires Nick to protect him for an evening, isn’t complete enough and finally ends up obtaining born, then picked up once more, once Nick nearly strikes it huge. Indeed, the highlight of untamed Card might not be its trio of fight scenes however the extended gambling sequence wherever Nick bets his future on a couple of hands of blackjack (with Hope Davis cameoing as a musical rhythm native dealer). Statham is sweet at keeping his cards shut as associate degree actor, and manages to make tension here while not doing an excessive amount of. nevertheless even that scene is followed by a ridiculous one that has Nick staring deeply into his soul within the lavatory mirror, then beating the crap out of a hand appliance. Set in contemporary Vegas however entrenched in pic stereotypes (especially the mob stuff) that are around for many years, the script offers up associate degree incongruous  dance band of previous and (slightly) new, as if Emma Goldman stepped in to simply retouch a couple of scenes – of a 1986 book that was created into the psychologist Reynolds starrer Heat – so they might match Statham’s pedigree. The results come short of the latter’s previous collaboration with West, The Mechanic, whose doses of unreal combat created up for its general lack of subtlety. Here the team doesn’t quite deliver on the action front, whereas the story of Nick’s booze-soaked redemption fails to bewitch. By doubling down on a pic that yearns to be each self-examining and bone-crunchingly cool, Wild Card overplays its hand.

• Opens: Wednesday, Jan. 14, (in France); Fri, Jan. 30 (in U.S.)
• Production companies: SJ Heat Productions, in association with Sierra / Affinity, Cinema Seven Productions
• Cast: mythical being Statham, archangel Angarano, milo maize Ventimiglia, Dominik Garcia-Lorido, Anne Heche, Serdica Vergara, scoop Casella, mythical being Alexander, Stanley Tucci, Hope Davis
• Director: Simon West
• Screenwriter: William Emma Goldman, supported his novel “Heat”
• Producer: Steve Chasman
• Executive producers: Nick Meyer, brandy Schaberg, Cassian Elwes, Henry M. Robert peer, Brian Pitt, Jib Polhemus
• Director of photography: Shelly Johnson
• Production designer: Greg Berry
• Costume designer: Lizz Wolf
• Editors: MPadriac McKinley, Thomas J. Nordberg
• Composer: Dario Marianelli
• Casting director: Barbara Fiorentino
• Action choreography: Corey Yuen
• Sales: Sierra / Affinity
• R rating, 91 minutes

source:http://www.hollywoodreporter.com/review/wild-card-film-review-763588

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Joker (Perancis)

Gamblers regarder. Si vous pensez que les pourcentages ar haute qu'un être Vegas-set mythique pic Jason Statham - et l'un réalisé par Simon West (Expendables 2 : Unité Spéciale) - peuvent incarner busting légion os et monnayeur fracassant, alors vous voudrez réduire vos paris. Non pas que Joker n'a pas un couple de beatdowns Stathamanical cru, avec des choses comme un mastercard, une cuillère à soupe et une moissonneuse des cisailles de jardinier employées dans les façons dont vous pouvez imaginer uniquement. Cependant l'action prend contraire une banquette arrière à-partout dramatique et couvaison existentielle non conventionnelle au cours de cette décevante quoique film du crime avec désinvolture barré, qui a été faite sur mesure - et non pour le moment primaire - par la bonne William Emma Goldman (Marathon Man) de son propre roman. déchargé mi-Janvier en France avant de sortir Stateside au bout du mois, le film devrait bénéficier sur base de fans fidèles de Statham mais vont, être une déception à tous envie d'un vrai manège à sensation.

Une séquence d'ouverture, où la ville Sin garde Nick sauvage (Statham) reçoit un fouet graves aux mains de l'homme d'un nebbish dames (Max Casella), révèle que ce ne peut pas être votre film d'action typique Statham. Il ya certainement rien de mal avec lui, si ce qui vient ensuite ne est pas très mieux: un sac mélangé non conventionnelle de clichés de l'intrigue Mafioso-alimentés et la tristesse de la vodka-alimentée, comme si se éloigner ville et deux heures avaient été jetés dans un mélangeur, secouée, agité et servi avec manière une quantité excessive de glace.

Le rêve de Nick est de former 500K $ ainsi il vivra pour raconter l'histoire d'un navire en Corse, mais vu son travail de défaillant et l'hôtel du moteur déprimante plat, il est d'une manière prolongée de son but. fois grade d'associé galfriend précédente (Dominik Garcia-Lorido) lui sonne quand sauvagement maltraité, Nick ne peut pas faciliter toutefois rattraper le malfaiteur - un escroc visite (Milo Ventimiglia) shacked avec ses copains à la bosse d'or (qui reçoit de la publicité très peu flatteuse ici - comme une alternative un excellent placement de produit, inachevée ou non vos plans de vacances incarnent le viol, assassiner ou de bons de boissons gratuits).

La première bagarre qui se passe entre Nick et donc les méchants au tour de la barre des 40 minutes, et si ce est bien chorégraphié par Corey Yuen (La série Transporter) et revêtue d'réfugiés Shelly Johnson (Captain America: First Avenger) en slow-mo, fast-mo et extrêmes gros plans, il ne évoque pas la pénurie générale de Adrenalin. Pendant ce temps, une intrigue secondaire impliquant un fervent jeune Américain (Michael Angarano) Organisation mondiale de la santé engage Nick pour le protéger d'une soirée, ne est pas assez complète et enfin finit par obtenir né, a alors pris une fois de plus, une fois Nick frappe près qu'il énorme.

En effet, le point culminant de carte sauvage pourrait ne pas être de son trio de scènes de combat mais la séquence de jeu étendu où Nick parie son avenir sur un couple de mains de blackjack (avec Hope Davis cameoing à titre de courtier natif de rythme musical). Statham est doux à garder ses cartes fermées en tant qu'acteur de grade d'associé, et parvient à faire ici pendant que la tension ne fait pas une quantité excessive de. Néanmoins, même cette scène est suivie par un ridicule qui a Nick regarder profondément dans son âme dans le miroir des toilettes, puis battre la merde hors d'un appareil de la main. 

Situé dans Vegas contemporaine mais enracinée dans les stéréotypes de PIC (en particulier le stuff MOB) qui sont autour depuis de nombreuses années, le script offre jusqu'à grade d'associé danse incongrue bande de précédente et (légèrement) nouvelle, comme si Emma Goldman est intervenu pour simplement retoucher un couple de scènes - d'un livre 1986 qui a été créé dans le psychologue Reynolds starrer chaleur - afin qu'ils puissent correspondre le pedigree de Statham.

Les résultats sont à court d'une collaboration antérieure de cette dernière à l'Ouest, The Mechanic, dont doses de combat irréel créé son manque général de subtilité. Voici l'équipe ne donne pas tout à fait sur le front de l'action, alors que l'histoire de l'alcool imbibé la rédemption de Nick ne ensorceler. En doublant sur un pic qui aspire à être de chaque auto-examen et os croquant cool, Wild Card exagère sa main.

• Ouvre: mercredi 14 janvier, (en France); Ven, 30 janvier (en US)
• Les sociétés de production: Productions SJ de chaleur, en association avec la Sierra / Affinity, Cinéma Seven Productions
• Exprimés: être mythique Statham, archange Angarano, Milo Ventimiglia maïs, Dominik Garcia-Lorido, Anne Heche, Serdica Vergara, scoop Casella, être mythique Alexander, Stanley Tucci, Hope Davis
• Réalisateur: Simon West
• Scénariste: William Emma Goldman, a soutenu son roman "Heat"
• Producteur: Steve Chasman
• Les producteurs exécutifs: Nick Meyer, brandy Schaberg, Cassian Elwes, Henry M. Robert pairs, Brian Pitt, Jib Polhemus
• Directeur de la photographie: Shelly Johnson
• Production designer: Greg Berry
• Costumière: Lizz Loup
• Rédacteurs: Padraic McKinley, Thomas J. Nordberg
• Compositeur: Dario Marianelli
• Directeur de casting: Barbara Fiorentino
• Chorégraphie d'action: Corey Yuen
• Ventes: Sierra / Affinity
• R note, 91 minutes  

source:http://www.hollywoodreporter.com/review/wild-card-film-review-763588

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A Most Violent Year

And not simply A Most Violent Year, either: the foremost violent year. The third film by J. C. Chandor, World Health Organization wrote and directed Margin Call and All Is Lost, could be a neck-prickling ethical heroic tale set in the big apple town, 1981: statistically speaking, the deadliest twelve months within the city’s history, and no time to create a good living.

In the District Attorney’s workplace, murder and corruption cases compile on desks just like the gray snow that collects within the alleyways outside. From the shores of borough, you'll almost see Manhattan within the distance, the skyline of the money district lead-blue and gleaming, the dual towers of the globe Trade Center looming massive. For Abel Morales (Oscar Isaac), that sort of success remains a far off dream, however he’s creating higher progress than most. This first-generation migrant runs a heating-oil business together with his Brooklyn-born better half Anna (Interstellar's Jessica Chastain), World Health Organization handles the accounts. Business is nice, though recently, the corporate has been hit by a spate of hijackings, with anonymous gunmen holding up fuel trucks and spiriting them away to places unknown. One night, Abel spots a wierd figure outside the couple’s lavish new Westchester home. He chases him off, however the subsequent morning, within the bushes by the door, the couple’s girl finds a loaded gun. Abel is convinced this can be the work of 1 of his rivals, World Health Organization between them have the city’s oil market sculpted up sort of a Mafia protection racket. however due to associate assistant D.A. (a subtle, very good David Oyelowo) with a keen interest within the company’s books, it’s Abel who’s tarred as a criminal. notwithstanding, he desires to play things straight; build his empire on ground. “I wish to own the items i take advantage of,” he tells a bunch of Jewish Orthodoxy Jews World Health Organization provide to rent, then eventually sell, him a warehouse down by the harbour. WASPy white faces area unit largely conspicuous by their absence. The city belongs to incomers, and Abel desires them, in turn, to belong to him. You underestimate adult male. and Mrs. Morales at your peril – and, for that matter, Isaac and Chastain. As one or two they’re a dramatic dream team, giving Abel and Pakistani monetary unit a beautiful, acidic chemistry that comes from compounding an excessive amount of business with not enough pleasure. Isaac, with gray streaks through his hair and a slate-coloured suit, yet again skulking spherical chilly the big apple streets once Inside Llewyn Davis, seems like a for good suspicious crow, whereas Chastain, all ruby-red lips and fine silk blouses, has the poise of a steel sculpture. In a terrific scene, the couple hit a ruminant in their automotive on the means home one evening, and whereas Abel hovers miserably over the spasm animal, clutching a hand tool and psyching himself up for the mercy kill, pow! pow!– Pakistani monetary unit attracts a firearm from her handbag and blasts the beast out of its misery. Chandor doesn’t roleplay the amount setting, however like Sidney Lumet, he hunkers down on the pavement together with his characters, showing North American nation their energy and determination to climb higher, as circumstances and their rivals grasp at their ankles. At one purpose, Abel happens by accident to be within reach once one in all his trucks is hijacked, and, recognizing an opportunity to finally learn who’s sabotaging his business, he follows in his automotive – an exploration that becomes a panic-stricken chase down the city’s backstreets, over patches of waste land, through railway yards so on foot and on the subway. On the means Abel finds a gun, and also the temptation for him to use it, and play by the city’s rules instead of his own, is overwhelming. The sequence is controlled and exhilarating – an ethical action sequence – however it additionally reminds Abel, and us, that even this purportedly successful man is at the mercy of spiderly external forces. “You’ve been walking around this whole time thinking this comes right down to your toil, your smart luck, your charm,” snorts "Anna" once he returns home that night. “Mr. F_____’ American Dream. Chandor’s film offers the Dream associate authentic, unreal texture. Here, success is even scarier than failure: it’s a nocturnal fantasy, tempting and ablaze with threat.

source:http://www.telegraph.co.uk/film/a-most-violent-year/review/

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A Most Violent Year (Perancis)

Et pas simplement A Most Violent Year, soit: l'année violente avant tout. Le troisième film de J. C. Chandor, Organisation mondiale de la Santé a écrit et réalisé Margin Call et All Is Lost, pourrait être un conte héroïque éthique cou-picotements mettre dans la grande ville de pomme, 1981: statistiquement parlant, les plus meurtrières douze mois dans la ville de histoire, et pas le temps de créer une bonne vie.

 Dans le lieu de travail du procureur de district, les cas de meurtre et de corruption compilent sur les bureaux, tout comme la neige grise qui recueille dans les ruelles à l'extérieur. Des rives du quartier, vous aurez presque voyez Manhattan dans la distance, la ligne d'horizon du quartier de l'argent plomb bleu et brillant, les deux tours du globe Trade Center imminente massif.

Pour Abel Morales (Oscar Isaac),ce genre de succès reste un rêve lointain, mais il se agit de créer des progrès plus élevé que la plupart. Ce migrant de première génération dirige une entreprise de fuel avec son Brooklyn-né meilleure moitié Anna (Interstellar's Jessica Chastain), Organisation mondiale de la Santé gère les comptes. Business est agréable, même si récemment, le entreprise a été frappée par une vague de détournements, avec des hommes armés anonymes levant camions de carburant et les spiriting retirer dans des endroits inconnus. Une nuit, Abel voit une figure bizarre extérieur somptueux nouvelle maison Westchester du couple. Il le poursuit arrêtés, cependant le matin suivant, dans les buissons près de la porte, la fille du couple trouve une arme chargée.

Abel est convaincu que ce peut être l'œuvre d'une de ses rivaux, Organisation mondiale de la Santé entre eux ont marché du pétrole de la ville sculpté jusqu'à une sorte de racket de protection Mafia. mais en raison de adjointe déléguée D.A. (Une subtile, très bon David Oyelowo)avec un vif intérêt dans les livres de la société, ce est Abel qui est goudronné comme un criminel. nonobstant, il désire jouer des choses droites; bâtir son empire sur le sol . “Je tiens à posséder les éléments Je profite de," at-il dit un tas de Juifs juive Orthodoxie Organisation mondiale de la Santé prévoit de louer, puis finalement de vendre, l'un entrepôt par le port. Visages blancs unité Waspy de domaine largement brillé par leur absence. La ville appartient à incomers, et Abel les désire, à son tour, de lui appartenir.

Vous sous-estimez mâle adulte. et Mme Morales à vos risques et périls - et, d'ailleurs, d'Isaac et Chastain. Comme un ou deux ce est une équipe de rêve dramatique, donnant Abel et pakistanaise unité monétaire une belle, la chimie acide qui vient de composer une quantité excessive de affaires avec pas assez de plaisir. Isaac, avec des stries gris dans ses cheveux et un costume de couleur ardoise, encore une fois rôder frisquet sphérique les grandes rues de pommes une fois Inside Llewyn Davis, qui semble être un pour une bonne corbeau suspect, alors que Chastain, toutes les lèvres de rouge rubis et fines blouses de soie, a l'aplomb d'une sculpture en acier. Dans une scène terrible, le couple a frappé un ruminant dans leur automobile sur les moyens à la maison un soir, et que Abel plane lamentablement sur l'animal de spasme, serrant un outil à main et se psyching la miséricorde kill, pow! pow - unité monétaire pakistanaise attire une arme à feu de son sac à main et explosions la bête hors de sa misère. Chandor ne roleplay pas le réglage de la quantité, mais comme Sidney Lumet, il se accroupit sur le trottoir avec ses personnages, montrant nation nord-américaine leur énergie et leur détermination à monter plus haut, que les circonstances et leurs rivaux saisir à leurs chevilles.

À un but, Abel arrive par accident à portée de main une fois une dans tous ses camions est détourné, et, reconnaissant la possibilité d'enfin apprendre qui a saboter son entreprise, il suit dans son automobile - une exploration qui devient une poursuite de panique bas les ruelles de la ville, plus de parcelles de terre des déchets, à travers les gares de triage afin à pied et dans le métro. Sur les moyens Abel trouve une arme à feu, mais aussi la tentation pour lui de l'utiliser, et de jouer par les règles au lieu de son propre de la ville, est écrasante. La séquence est contrôlé et exaltante - une séquence d'action éthique - mais il rappelle en outre Abel, et nous, que même cet homme prétendument réussie est à la merci de forces extérieures spiderly. "Vous avez été marcher autour de tout ce temps à penser cela vient jusque dans ton travail, votre chance à puce, votre charme," ronflements "Anna" une fois qu'il rentre à la maison ce soir-là. 'M. F_____ ' American Dream. Le film de Chandor offre le rêve associé texture authentique et irréelle. Ici, le succès est encore plus effrayant que l'échec: ce est un fantasme nocturne, et tentant feu avec menace.

source:http://www.telegraph.co.uk/film/a-most-violent-year/review/

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The Hobbit: The Battle of the Five Armies

“So began a battle that none had expected,” wrote JRR Tolkien in the third-from-last chapter of The Hobbit. “And it was called The Battle of the Five Armies, and it was very terrible.” Peter Jackson’s expansion of this epochal but barely-described fracas, in his third and final film from this slim book, is neither very terrible nor remotely unexpected. It’s a series of stomping footnotes in search of a climax.






In terms of story so far, it ends virtually when it starts – with super-peeved dragon Smaug (Benedict Cumberbatch) raining down fiery destruction on the pitiful residents of Laketown, and facing the last-ditch heroism of an archer called Bard (Luke Evans). Everything else is scraps, in both senses. Jackson’s one recourse is to ape the here-we-go-again war mania of The Return of the King. Humans, dwarves and elves duke it out with orcs and wild wolves. It's a whopping great grudge match, a squabble over the contents of Smaug’s mountain lair, and goodness knows what else. The trouble is that Jackson can’t make it mean very much: when every life on Middle Earth is seemingly at stake, few individually grab our attention. There’s more aftermath than plot left, and very little of it has to do with Bilbo (Martin Freeman), who feels increasingly like a forlorn bystander in his own franchise. The further and more competently the movie trundles on, the more it begs not to exist, really: hindsight favours a two-part adaptation at most. This isn’t to say there aren’t bright spots. However it was fudged, 92-year-old Christopher Lee doing Shaolin kung fu with his magic staff is great value. And the last third is rescued by one meaty, entertaining set piece – crumbling citadel, frozen lake, one-on-one duels between orcs and the principal cast. Freeman, and Evangeline Lilly as the not-in-Tolkien elf maiden Tauriel, inject some unforced pathos which puts many of their dewy-eyed co-stars to shame. The bloom has come off Orlando, though, whose main achievement as Legolas – other than some ridiculous mid-air running up collapsing masonry – is to illustrate perfectly what Joey Tribbiani from Friends called “smell the fart acting”. When the dwarf leader Thorin (Richard Armitage) imagines himself drowning in a pool of molten gold, Jackson’s pet message that Greed Is Bad rings out again – but you have to wonder if a triple-your-money release strategy is quite the seemliest context to preach it in. At 6ft 2", Armitage must be the tallest actor ever to play a dwarf. The film is the opposite: a paragraph on steroids. source:http://www.telegraph.co.uk/culture/film/filmreviews/11260252/The-Hobbit-The-Battle-of-the-Five-Armies-first-look-review-begs-not-to-exist.html Movie Info


From Academy Award (R)-winning filmmaker Peter Jackson comes "The Hobbit: The Battle of the Five Armies," the third in a trilogy of films adapting the enduringly popular masterpiece The Hobbit, by J.R.R. Tolkien. "The Hobbit: The Battle of the Five Armies" brings to an epic conclusion the adventures of Bilbo Baggins, Thorin Oakenshield and the Company of Dwarves.


Having reclaimed their homeland from the Dragon Smaug, the Company has unwittingly unleashed a deadly force into the world. Enraged, Smaug rains his fiery wrath down upon the defenseless men, women and children of Lake-town. Obsessed above all else with his reclaimed treasure, Thorin sacrifices friendship and honor tohoard it as Bilbo's frantic attempts to make him see reason drive the Hobbit towards a desperate and dangerous choice.


But there are even greater dangers ahead. Unseen by any but the Wizard Gandalf, the great enemy Sauron has sent forth legions of Orcs in a stealth attack upon the Lonely Mountain. As darkness converges on their escalating conflict, the races of Dwarves, Elves and Men must decide - unite or be destroyed. Bilbo finds himself fighting for his life and the lives of his friends in the epic Battle of the Five Armies, as the future of Middle-earth hangs in the balance. (c) Warner Bros Rating: PG-13 (for extended sequences of intense fantasy action violence, and frightening images) Genre: Action & Adventure , Science Fiction & Fantasy Directed By: Peter Jackson Written By: Philippa Boyens , Guillermo del Toro , Fran Walsh , J.R.R. Tolkien , Peter Jackson In Theaters: Dec 17, 2014 Wide On DVD: Mar 24, 2015 US Box Office: $255.1M Runtime: 2 hr. 24 min. Warner Bros. - Official Site


source:http://www.rottentomatoes.com/m/the_hobbit_the_battle_of_the_five_armies/



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Le Hobbit : La Bataille des Cinq Armées (Perancis)

"Alors a commencé une bataille qu'aucun ne avait prévu," a écrit JRR Tolkien dans le troisième-from-dernier chapitre de The Hobbit. "Et il a été appelé La Bataille des Cinq Armées, et ce était terrible." L'expansion de Peter Jackson de ce fracas d'époque mais à peine décrit, dans son troisième et dernier film de ce livre mince, ne est ni très mauvais ni de loin inattendu. Ce est une série de notes piétinant à la recherche d'un point culminant.






En termes de Story So Far, elle se termine pratiquement quand il commence - avec des super-irrité le dragon Smaug (Benedict Cumberbatch) pleuvoir destruction par le feu sur les résidents pitoyables de Laketown, et face à l'héroïsme de la dernière chance d'un archer appelé Bard (Luke Evans). Tout le reste est bribes, dans les deux sens. Seul recours de Jackson est de singer la guerre manie ici, nous allons de nouveau-du Le Retour du Roi. Les humains, les nains et les elfes en découdre avec les orcs et les loups sauvages. Ce est un grand match de rancune énorme, une querelle sur le contenu de la montagne de la tanière de Smaug, et Dieu sait quoi d'autre. Le problème est que Jackson ne peut pas faire ce que cela signifie beaucoup: quand chaque vie sur la Terre du Milieu est apparemment en jeu, peu saisir individuellement notre attention. Il ya plus de terrain suite à gauche, et très peu de cela a à voir avec Bilbo (Martin Freeman), qui se sent de plus en plus comme un spectateur désespéré dans sa propre franchise. Le plus loin et avec plus de compétence le film cahote sur, plus il supplie de ne pas exister, vraiment: recul favorise une adaptation en deux parties au plus. Cela ne veut pas dire qu'il n'y a pas d'emplacements brillants. Toutefois, il a été trafiqué, 92 ans Christopher Lee faisant kung fu de Shaolin avec son bâton magique est une grande valeur. Et le dernier tiers est sauvé par une viande, divertissant jeu pièce - citadelle en ruine, lac gelé, en tête-à-une duels entre orcs et la distribution principale. Freeman et Evangeline Lilly que l'elfe Tauriel pas de jeune fille en Tolkien, injecter un peu de pathos non forcée qui met beaucoup de leurs co-stars de rosée aux yeux à la honte. La floraison se est détachée Orlando, cependant, dont la principale réalisation comme Legolas - autres que certains airs ridicule course se effondrer maçonnerie - est d'illustrer parfaitement ce que Joey Tribbiani de Friends appelés "sentir le pet agir". Quand le chef nain Thorin (Richard Armitage) se imagine noyade dans une piscine de l'or fondu, le message d'animal de compagnie de Jackson que la cupidité est mauvaise anneaux à nouveau - mais vous devez vous demander si une stratégie de libération triple-votre-argent est tout à fait le contexte seemliest à . prêcher dans À 6 pieds 2 ", Armitage doit être l'acteur le plus haut jamais à jouer un nain Le film est à l'opposé:. un paragraphe sur les stéroïdes. source:http://www.telegraph.co.uk/culture/film/filmreviews/11260252/The-Hobbit-The-Battle-of-the-Five-Armies-first-look-review-begs-not-to-exist.html





Infos film


De Academy Award (R) -winning cinéaste Peter Jackson vient "The Hobbit: La Bataille des Cinq Armées," le troisième d'une trilogie de films adaptant le chef-d'œuvre durablement populaire The Hobbit, de JRR Tolkien. "Le Hobbit: La Bataille des Cinq Armées" amène à une conclusion épique les aventures de Bilbo Baggins, Thorin et la Compagnie des Nains. Ayant récupéré leur patrie du dragon Smaug, la Société a involontairement déclenché une force mortelle dans le monde. Furieux, Smaug pleut sa colère ardente vers le bas sur les hommes sans défense, femmes et enfants de Lac-ville. Obsédé par-dessus tout avec son trésor récupéré, Thorin sacrifie l'amitié et l'honneur tohoard comme tentatives frénétiques de Bilbo à lui faire entendre raison conduire le Hobbit vers un choix désespéré et dangereux. Mais il ya des dangers plus grands encore à venir. Unseen par tout mais le magicien Gandalf, le grand ennemi Sauron a envoyé des légions d'orques dans une attaque furtive sur la Montagne Solitaire. Comme l'obscurité converge sur leur escalade du conflit, les courses de Nains, Elfes et les Hommes doivent décider - unir ou être détruits. Bilbo se retrouve lutte pour sa vie et celle de ses amis dans la bataille épique des Cinq Armées, que l'avenir de la Terre du Milieu est dans la balance.


(c) Warner Bros Note: PG-13 (pour les séquences longues intense action fantastique, la violence et des images effrayantes) Genre: Action et Aventure, Science Fiction & Fantastique Réalisé par: Peter Jackson Ecrit par: Philippa Boyens , Guillermo del Toro , Fran Walsh , JRR Tolkien, Peter Jackson Au cinéma: 17 décembre 2014 Large Sur DVD: 24 mars 2015 Box Office US: 255.1M $ Durée: 2 h. 24 min. Warner Bros. - Official Site


source:http://www.rottentomatoes.com/m/the_hobbit_the_battle_of_the_five_armies/



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The Hunger Games: Mockingjay - Part 1

The biggest problem with the new Hunger Games movie is right there in the title: Part 1. Mockingjay, the final installment in Suzanne Collins’ best-selling YA trilogy, wasn’t conceived in two parts. That was a decision made in Hollywood by a studio looking to double down and milk every last dime out of its blockbuster franchise. The suits probably thought, ”Hey, it worked for Harry Potter and Twilight, so why not us?” You can’t blame them for wanting to keep the good times rolling. But it’s a pretty cynical business plan, and it’s led to a film that feels needlessly padded. Mockingjay—Part 1 is like a term paper with the margins enlarged and the font size jacked up to reach the assigned number of pages.






This is especially disappointing because the previous chapter, 2013’s Catching Fire, was such a pleasant surprise. While the 2012 original laid out Collins’ dystopian death-sport milieu with flair and faithfulness, it was also a bit flat. Catching Fire, on the other hand, gave the heroine, Katniss Everdeen, an adrenalized urgency. As played by Jennifer Lawrence, Katniss developed into a character who was both brainy and badass. Now, in Mockingjay—Part 1, she’s become passive. The movie picks up after the incendiary conclusion of Catching Fire’s Quarter Quell, when Katniss was rescued and brought to the rebels’ underground fortress in District 13. Here, the anti-Capitol leaders plot their next strike against President Snow (Donald Sutherland), hatching a plan to turn Katniss into the fiery symbol of the resistance and spur the powerless citizens of Panem to rise up against the Capitol. It’s a propaganda war, and she’s the secret weapon—a Che Guevara T-shirt made flesh. The rebel brain trust includes President Coin (Julianne Moore, sporting silver Cruella De Vil locks), spin-savvy strategist Plutarch (Philip Seymour Hoffman, to whom the film is dedicated), hacker Beetee (Jeffrey Wright), the newly clean and sober Haymitch (Woody Harrelson), and Effie Trinket (Elizabeth Banks, channeling a drag queen). They send Katniss and Gale (Liam Hemsworth) to the front lines with a guerrilla film crew that records her battlefield heroics and beams it all back to the huddled masses.



But Snow has a secret weapon of his own. Kidnapped by the nefarious president’s forces at the end of the last movie, Peeta (Josh Hutcherson) reappears in the Capitol, and in a series of interviews with the sensationalist journalist Caesar (Stanley Tucci), he denounces Katniss and urges a cease-fire. The betrayal devastates her, forcing her to realize that her feelings for him weren’t a charade after all. With its Wag the Dog subplot and fist-in-the-air proletarianism, Mockingjay may be the most harmlessly Marxist movie to come out of Hollywood since Reds.



I suppose director Francis Lawrence and writers Peter Craig and Danny Strong deserve some credit for daring to sneak any political cheekiness into a movie that’s as big and corporate as this. But overall their hands are tied too tightly. While the series’ first two films captured the grandeur of the outdoors during the kill-or-be-killed competitions, Mockingjay is mostly bound to the bleak and claustrophobic bowels of a bunker. It suffocates the film. And when the story finally does manage to get interesting toward the end, it just screeches to a halt and cuts off, leaving fans wriggling on the hook for a finale they won’t get to see for another 12 months. That’s not a cliff-hanger, that’s just a tease.


source:http://www.ew.com/article/2014/12/05/hunger-games-mockingjay-part-1



Movie Info


The worldwide phenomenon of The Hunger Games continues to set the world on fire with The Hunger Games: Mockingjay - Part 1, which finds Katniss Everdeen (Jennifer Lawrence) in District 13 after she literally shatters the games forever. Under the leadership of President Coin (Julianne Moore) and the advice of her trusted friends, Katniss spreads her wings as she fights to save Peeta (Josh Hutcherson) and a nation moved by her courage. The Hunger Games: Mockingjay - Part 1 is directed by Francis Lawrence from a screenplay by Danny Strong and Peter Craig and produced by Nina Jacobson's Color Force in tandem with producer Jon Kilik. The novel on which the film is based is the third in a trilogy written by Suzanne Collins that has over 65 million copies in print in the U.S. alone.


(c) Lionsgate







Rating:

PG-13 (for intense sequences of violence and action, some disturbing images and thematic material)


Genre:

Drama , Action & Adventure , Science Fiction & Fantasy


Directed By:

Francis Lawrence (II) , Francis Lawrence


Written By:

Danny Strong , Peter Craig


In Theaters:

Nov 21, 2014 Wide


On DVD:

Mar 6, 2015


US Box Office:

$337.1M


Runtime:

2 hr. 5 min.



Lionsgate Films - Official Site


source:http://www.rottentomatoes.com/m/the_hunger_games_mockingjay_part_1/



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Hunger Games: La Révolte - Partie 1 (Perancis)

Le plus gros problème avec le nouveau film Hunger Games est là, dans le titre: Partie 1. Mockingjay, la dernière tranche de best-seller de la trilogie de Suzanne Collins YA, n'a pas été conçu en deux parties. Ce était une décision prise à Hollywood par un studio cherche à doubler et le lait chaque dernier centime sur sa franchise blockbuster. Les costumes ont probablement pensé, "Hey, il a travaillé pour Harry Potter et Twilight, alors pourquoi pas nous?" Vous ne pouvez pas les blâmer de vouloir garder les bons moments roulant. Mais ce est un plan d'affaires assez cynique, et il est conduit à un film qui se sent inutilement rembourré. La Révolte, partie 1 est comme un papier à court terme avec les marges agrandies et la taille de police haussé pour atteindre le numéro attribué de pages.







Ce est particulièrement décevant parce que le chapitre précédent, L'Embrasement de 2013, était une agréable surprise. Alors que l'original 2012 aménagé dystopique milieu mort de sport Collins avec flair et la fidélité, il était aussi un peu plat. Catching Fire, d'autre part, a donné l'héroïne, Katniss, une urgence adrenalized. Comme joué par Jennifer Lawrence, Katniss est développé en un personnage qui était à la fois intelligent et dur à cuire. Maintenant, dans Mockingjay-Partie 1, elle est devenue passive.



Le film reprend après la conclusion incendiaire Catching Fire Quarter Quell, lorsque Katniss a été secouru et amené à forteresse souterraine des rebelles dans le district 13. Ici, les dirigeants anti-Capitol tracer leur prochaine grève contre le président Snow (Donald Sutherland), l'éclosion un plan pour mettre Katniss dans le symbole de feu de la résistance et de stimuler les citoyens impuissants de Panem à se soulever contre le Capitole. Ce est une guerre de propagande, et elle est le secret d'armes d'un Che Guevara T-shirt fait chair. La confiance rebelles du cerveau comprend président Coin (Julianne Moore,argent arborant serrures Cruella De Vil ), spin-savvy stratège Plutarque (Philip Seymour Hoffman, à qui le film est dédié), pirate informatique Beetee (Jeffrey Wright), le Haymitch nouvellement propre et sobre (Woody Harrelson), et Effie Trinket (Elizabeth Banks, canaliser une drag queen). Ils envoient Katniss et Gale (Liam Hemsworth) pour les lignes de front avec une équipe de tournage de la guérilla qui enregistre ses exploits du champ de bataille et poutres tous de retour aux masses entassées.



Mais la neige a une arme secrète de la sienne. Enlevé par les forces du président néfaste à la fin du dernier film, Peeta (Josh Hutcherson) réapparaît dans le Capitole, et dans une série d'entretiens avec le journaliste sensationnaliste César (Stanley Tucci), il dénonce Katniss et demande instamment un cessez-le-feu. La trahison de son ravage, la forçant à se rendre compte que ses sentiments pour lui ne étaient pas une mascarade après tout. Avec son intrigue secondaire Des Hommes d'Influence et prolétarisation poing en l'air, Mockingjay peut être le film le plus inoffensive Marxist de sortir de Hollywood depuis Reds.



Je suppose que réalisateur Francis Lawrence et écrivains Peter Craig et Danny Strong méritent un certain crédit pour avoir osé se faufiler toute impertinence politique dans un film qui est aussi grand et d'entreprise de ce genre. Mais dans l'ensemble leurs mains sont trop serrés. Alors que les deux premiers films de la série ont capturé la grandeur de l'extérieur pendant les compétitions kill-ou-être-tué, Mockingjay est surtout lié à des entrailles sombres et claustrophobes d'un bunker. Il étouffe le film. Et quand l'histoire ne parvient enfin à devenir intéressant vers la fin, il hurle juste pour une halte et coupe, laissant les fans frétillent sur le crochet pour une finale qu'ils ne obtiendront pas de voir pendant encore 12 mois. Ce ne est pas un cliff-hanger, ce est juste une allumeuse.


source:http://www.ew.com/article/2014/12/05/hunger-games-mockingjay-part-1


Infos film Le phénomène mondial de The Hunger Games continue de mettre le feu au monde avec The Hunger Games: Mockingjay - Partie 1, qui trouve Katniss (Jennifer Lawrence) dans le district 13 après qu'elle brise littéralement les jeux toujours. Sous la direction du Président Coin (Julianne Moore) et les conseils de ses amis de confiance, Katniss se étend ses ailes comme elle se bat pour sauver Peeta (Josh Hutcherson) et une nation ému par son courage. The Hunger Games: La Révolte - Partie 1 est réalisé par Francis Lawrence sur un scénario de Danny Strong et Peter Craig et produit par Color Force de Nina Jacobson en tandem avec le producteur Jon Kilik. Le roman sur lequel est basé le film est le troisième d'une trilogie écrite par Suzanne Collins qui a plus de 65 millions d'exemplaires imprimés aux États-Unis seuls.


(c) Lionsgate







Notes:

PG-13 (pour des séquences intenses de violence et d'action, certaines images troublantes et matériau thématique)


Genre:

Drame , Action & Adventure , Science Fiction & Fantastique


Réalisé par:

Francis Lawrence (II) , Francis Lawrence


Ecrit par:

Danny Strong , Peter Craig


Au cinéma:

Nov 21, 2014 Wide


Sur DVD:

Mar 6, 2015


Box Office US:

$337.1M


Durée:

2 hr. 5 min.



Lionsgate Films - Official Site


source:http://www.rottentomatoes.com/m/the_hunger_games_mockingjay_part_1/



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